Mise en scène : Léa Alazraki - Musique : Romain Nègre - Chorégraphie : Prunelle Gillet
Avec Léa Alazraki et Prunelle Gillet
Le crapaud Hans Christian Andersen
Dans un puits profond, une petite crapaude se morfond. Elle rêve de voir la lumière du soleil, de sortir du puits pour découvrir le monde.Musique et danse.
Avec ce conte d’Andersen, fenêtre ouverte sur l'imaginaire des enfants et des adultes, les deux interprètes tissent une forme artistique contemporaine destinée au tout-public. A partir de 4-5ans.
La mise en scène souligne un double mouvement : la volonté du personnage d’aller toujours plus haut et son désir de «se noyer dans la lumière». Le dialogue entre danse et théâtre, entre musique et lumière vient soutenir les désirs, les tourments et les évènements qui touchent la petite crapaude. La scène devient le reflet d’un voyage coloré et distordu par le regard d’un personnage qui découvre pour la première fois le monde.
La petite crapaude ne pensait qu’à sortir du puits. Elle sauta dans le seau qui remontait. Alors vint la découverte de la lumière du soleil, la rencontre avec une bande de papillons : La petite crapaude s’imagina que c’étaient des fleurs détachées de leurs tiges pour voir un peu le monde...Elle continua son chemin, rencontra une chenille, une poule qui tentait de planter son bec dans la chenille. Puis elle aperçut une cigogne et l’entendit parler de l’Egypte…
2
Un spectacle au rythme enlevé, où se mêlent poésie et humour. Les deux interprètes nous proposent une version du conte d'Andersen entre théâtre et danse qui ravira petits et grands. A voir !...
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3
Un très beau texte de Andersen joué par une comédienne et une danseuse qui nous invitent, plus jeunes comme moins jeunes, à sortir de notre quotidien et à aller arpenter le monde. Alors parents comme marmots, au théâtre!
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Le crapaud Hans Christian Andersen
Mise en scène : Léa Alazraki - Musique : Romain Nègre - Chorégraphie : Prunelle Gillet
Avec Léa Alazraki et Prunelle Gillet
Dans un puits profond, une petite crapaude se morfond. Elle rêve de voir la lumière du soleil, de sortir du puits pour découvrir le monde.Musique et danse.
Avec ce conte d’Andersen, fenêtre ouverte sur l'imaginaire des enfants et des adultes, les deux interprètes tissent une forme artistique contemporaine destinée au tout-public. A partir de 4-5ans.
La mise en scène souligne un double mouvement : la volonté du personnage d’aller toujours plus haut et son désir de «se noyer dans la lumière». Le dialogue entre danse et théâtre, entre musique et lumière vient soutenir les désirs, les tourments et les évènements qui touchent la petite crapaude. La scène devient le reflet d’un voyage coloré et distordu par le regard d’un personnage qui découvre pour la première fois le monde.
La petite crapaude ne pensait qu’à sortir du puits. Elle sauta dans le seau qui remontait. Alors vint la découverte de la lumière du soleil, la rencontre avec une bande de papillons : La petite crapaude s’imagina que c’étaient des fleurs détachées de leurs tiges pour voir un peu le monde...Elle continua son chemin, rencontra une chenille, une poule qui tentait de planter son bec dans la chenille. Puis elle aperçut une cigogne et l’entendit parler de l’Egypte…
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Un spectacle au rythme enlevé, où se mêlent poésie et humour. Les deux interprètes nous proposent une version du conte d'Andersen entre théâtre et danse qui ravira petits et grands. A voir !...
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Un très beau texte de Andersen joué par une comédienne et une danseuse qui nous invitent, plus jeunes comme moins jeunes, à sortir de notre quotidien et à aller arpenter le monde. Alors parents comme marmots, au théâtre!
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