Mise en scène : Cécile Rist
Avec Atelier théâtre du Jeudi

THEATRE MOIS des AMATEURS

Une Cerisaie Anton Tchekhov

Une Cerisaie, sitcom tragi-comique, résolument contemporaine, dans laquelle évoluent des personnages en perdition ou en devenir : des aristocrates déchues qui sèment l'argent qu'elles n'ont pas, un vieux majordome qui regrette le temps où on le battait, un comptable fou d'amour qui se réveille avec une araignée sur la poitrine, des serviteurs qui lorgnent la place des maîtres et les copient jusque dans leur vacuité, une garante de l'ordre amoureuse, un agitateur vindicatif, un nouveau riche qui pavane et pourrait être celui par qui vient le salut ou la perte remue la queue... et d'autres encore.

Dans cette polka endiablée et librement adaptée, chacun cherche sa place, mange, boit, rit, danse, pleure et aime à la folie, tout en philosophant sur le monde à venir ; les blessures sont là, mais qu'importe puisqu'il faut vivre - jusqu'au bout, vivre.

« J'ai le sang trop riche, j'ai déjà fait deux attaques, pour moi, c'est danse et crève, mais comme on dit, une fois dans la meute, aboie si tu veux mais remue la queue (…). Chien affamé n'a d'œil que pour la viande...Moi aussi...Je ne pense qu'à ça – l'argent.


Tarif sur place: 8 €
* +0,50€ de frais bancaire.


Durée: 90 mn

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Une Cerisaie Anton Tchekhov

THEATRE MOIS des AMATEURS

Mise en scène : Cécile Rist
Avec Atelier théâtre du Jeudi


Tarif sur place: 8 €
* +0,50€ de frais bancaire.



Durée: 90 mn


Une Cerisaie, sitcom tragi-comique, résolument contemporaine, dans laquelle évoluent des personnages en perdition ou en devenir : des aristocrates déchues qui sèment l'argent qu'elles n'ont pas, un vieux majordome qui regrette le temps où on le battait, un comptable fou d'amour qui se réveille avec une araignée sur la poitrine, des serviteurs qui lorgnent la place des maîtres et les copient jusque dans leur vacuité, une garante de l'ordre amoureuse, un agitateur vindicatif, un nouveau riche qui pavane et pourrait être celui par qui vient le salut ou la perte remue la queue... et d'autres encore.

Dans cette polka endiablée et librement adaptée, chacun cherche sa place, mange, boit, rit, danse, pleure et aime à la folie, tout en philosophant sur le monde à venir ; les blessures sont là, mais qu'importe puisqu'il faut vivre - jusqu'au bout, vivre.

« J'ai le sang trop riche, j'ai déjà fait deux attaques, pour moi, c'est danse et crève, mais comme on dit, une fois dans la meute, aboie si tu veux mais remue la queue (…). Chien affamé n'a d'œil que pour la viande...Moi aussi...Je ne pense qu'à ça – l'argent.

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